Lu le 2 février 2012
Docteur
Watson est un médecin de Londres qui revient d'une épopée en
Afghanistan où on lui a tiré dans la jambe. Ne pouvant plus assuré
son service dans l'armée, il rentre à Londres pour ouvrir son
cabinet. Mais en discutant avec un ami, on lui parle d'un personnage
qui aimerait partager son appartement rue Baker Street. Ce monsieur
n'est autre que Sherlock Holmes.
L'intrigue
de chaque histoire commence par une personne qui déboule dans
l'appartement en demandant de résoudre un meurtre, retrouver un
objet précieux, comprendre qui est venu ou encore retrouver une
personne disparue. Si Holmes juge l'affaire intéressante, il analyse
trait pour trait son quémandeur et avise Watson d'un début
d'enquête.
Toute
la narration est menée par Watson, qui ne comprend pas toujours
comment Holmes comprend les faits et gestes de ses compatriotes, qui
ne reconnaît pas Holmes s'il est déguisé et qui est toujours
fasciné par une déduction qui pour Holmes est simple comme bonjour.
On
aime l'écriture de Doyle, les idées de recherches de Holmes, la
curiosité de Watson pour ce savoir-faire, les méfaits des personnes
incriminées, les stratagèmes inventés pour brouiller les pistes,
l'habileté de Holmes à sortir de la déduction simple pour
décortiquer de l'extérieur ce que Scottland Yard s'acharne à
comprendre de l'intérieur et à résoudre certaines affaires sans
sortir de chez lui, même des fois, d'interpeler le malfrat dans son
appartement.
Du même auteur :
Le chien des Baskerville
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