7 janv. 2016

Peur blanche de Ken Follett




Toni travaille dans un laboratoire en Ecosse. Les recherches se font sur les virus mortels afin de trouver les bons médicaments. Le plus connu est celui d'Ebola. Un jeune homme réussit à sortir un lapin atteint du virus et se fait mordre, il décède quelques jours plus tard. Mais Kit, le fils de Stanley, le directeur du laboratoire, doit se refaire une fortune pour étancher ses dettes. Quelles mesures peut il prendre pour cambrioler son père et revendre ce qui se trouve dans le laboratoire ?

Ken Follett fait parti de mes écrivains préférés. Il a écrit de nombreux romans qui traitent de l'espionnage et s'appuie généralement de témoignages sur l'histoire pour avoir des romans poignants de vérité et un suspens haletant.

Dans ce roman, il écrit une pure fiction. Moins d'espionnage et plus de romance, les personnages sont toujours aussi écrits avec des caractères bien trempés et des idées farfelues. On sent encore que Ken Follett nous parle de laboratoires et de protocoles qui pourraient exister, rendant l'histoire crédible mais l'histoire est trop romancée : une manière d'écrire dont Ken Follett nous a peu habitué et j'en suis un peu déçue.

La neige recouvre tout le décor et le froid nous pénètre davantage mais je n'ai pas partagé le suspens qui régit les autres romans de mon auteur.
J'ai trouvé quelques passages longs comme les moments où notre héroïne se posent des questions sur sa vie, sur ses amours et doit aller chercher sa mère... Un peu longuet et sans saveur à mon goût. L'entrée de l'équipe de malfrats dans le laboratoire est un peu déconcertante et facile. Ce n'est pas le meilleur de Ken Follett néanmoins je l'ai beaucoup aimé et il n'a pas fait long feu entre mes mains.

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